Chevalier,
C'est sous l'ampleur de mon amour,
Que je prends ma plume afin non point de vous faire la cour,
Mais oui bien de vous prouver mon amour éternel,
Croyez-moi, il est sans pareil,
Votre odeur même m'es sensuel,
Je vous en prie Chevalier, ne vous en offusquez point,
Je suis en réel émoi,
Regardez, jeune jouvencelle que je suis,
J'ai tout les charmes et pourtant j'écris,
Rois, Princes, Nobles et Troubadours se pressent à mes pieds,
Ils posent sur mes jupons des sacs de deniers,
Ils sont si banals, de croire que l'or est maître de vie,
Ils croyent que leur beaux autours sont symboles d'envie,
Je les regqrde se pavaner,
Tandis que mon coeur se languit de vous Chevalier,
A l inverse de ses beaux seigneurs, vous être partit guerroyer,
J ignore si la vie respire encore en vous,
Tous ses seigneurs j aimerais les traiter de fous,
Plus que jamais j aimerais être dans vos bras,
Je vous en conjure ne me rejettez pas,
Par cette lettre je tenais a vous dire,
Combien je vous desir
Espérence
C'est sous l'ampleur de mon amour,
Que je prends ma plume afin non point de vous faire la cour,
Mais oui bien de vous prouver mon amour éternel,
Croyez-moi, il est sans pareil,
Votre odeur même m'es sensuel,
Je vous en prie Chevalier, ne vous en offusquez point,
Je suis en réel émoi,
Regardez, jeune jouvencelle que je suis,
J'ai tout les charmes et pourtant j'écris,
Rois, Princes, Nobles et Troubadours se pressent à mes pieds,
Ils posent sur mes jupons des sacs de deniers,
Ils sont si banals, de croire que l'or est maître de vie,
Ils croyent que leur beaux autours sont symboles d'envie,
Je les regqrde se pavaner,
Tandis que mon coeur se languit de vous Chevalier,
A l inverse de ses beaux seigneurs, vous être partit guerroyer,
J ignore si la vie respire encore en vous,
Tous ses seigneurs j aimerais les traiter de fous,
Plus que jamais j aimerais être dans vos bras,
Je vous en conjure ne me rejettez pas,
Par cette lettre je tenais a vous dire,
Combien je vous desir
Espérence